Les premières fissures dans le silence Le sixième journée s’ouvrit sur une tempête de vent, perpétuant fustiger les volets et trembler le masque de quelques bateaux au port de Clairmont-sur-Mer. Dès l’aube, les bourrasques semblaient représenter une journée houleuse, notamment si la cité elle-même ressentait la tension latente née de l’enquête qui entourent la klaxon d’Avalune. Dans son domicile, Phil Voyance regardait par la fenêtre l'ombre noirs filer à toute allure. Il venait de se lever et vérifiait déjà les nouveaux messagers de voyance par sms parvenus de front l'obscurité. Parmi eux, un certain Milo, chanteur amat, lui confiait : « Phil, depuis que je répète pour un partenariat de chant, j’ai la gorge nouée à savoir si des attributs m’empêchait de lire ma voix. Est-ce une pratique angoisse ou un symbole que je dois arrêter ? » Phil se sentit ému par cette confession, se faisant la profonde romance entendue à bien la chapelle. Il tira trois cartes : la Lune, la Force et le pendu. « Milo, je ressens qu’une couleur profonde vous bloque. La Lune larme vos peurs, la Force indique une énergie impénétrable prête à se pouvoir affecter, et le bateleur annonce un actuel début. Persévérez, apprenez à bien inspirer votre frayeur. Vous avez un potentiel qui ne demande qu’à s’exprimer. » Alors qu’il se préparait un café, Phil repensa à bien la conversation de la veille avec Hubert et Nadège. Tous trois commençaient à déceler que l’énigme de la sonnerie dépassait la banale titre. Mais ils ne savaient pas encore si ce passion traditionnel s’exerçait toujours en illuminé, ni s’il représentait un épreuve physique ou une rite oubliée. Dans la matinée, Phil décida d’appeler Nadège pour la survivre au habituel de quelques dernières neuves. Elle ne répondit pas, laissant filer une multitude de sonneries. Inquiet, il lui envoya un message : « Tu vas bien ? Appelle-moi à émerger du moment ou tu peux. » En relevant ses différents textos, il tomba sur une demande de Jade, une jeunes femmes adoptée, qui briguait naissance. « Je ressens un vide, Phil. Dois-je entamer des interventions pour retrouver mes parents biologiques ? Mon communauté me soutient, mais j’ai appréhension d'apprécier quelque chose de douloureux. » Le tarot dévoila l’Hermite et le Monde. « Jade, vous vous trouvez en quête de vérité. L’Hermite informe l’importance d’aller au fond de vous-même pour appréhender votre fonctionnement d’identité, tandis que le Monde promet un accomplissement si vous franchissez le pas. Même si la réalité est certaines fois peu évidente, vous semblez prête à l’affronter. » En départ d’après-midi, le vent se calma un doigt, et Phil en profita pour extraire ameuter de quoi déjeuner. La sa place du marché était pratiquement déserte, la majeure partie des étals fermés par peur du négatifs vies. Sur saint-andré, les inappréciables passants se protégeaient par-dessous de certaines parapluies. Phil s’arrêta censées le café conventionnel pour manger un sandwich. Alors qu’il s’installait en terrasse, Hubert l’appela soudain : « Phil, j’ai du nouveau ! » La voix de l’historien tremblait lentement. Il expliqua qu’il avait revêtu la index, dans les archives municipales, sur un introspection de police datant d’une cinquantaine d’années. Le document relatait l'expérience des diverses symboles créés dans le rocher, similaires à ceux de la chapelle, et évoquait la disparition inexpliquée d’un pêcheur du homonyme d’Emile Gacquin. « Selon le introspection, on l’a cherché dans notre monde. On a trouvé sa barque échouée auprès de quelques falaises. Mais zéro trace de lui… Certaines rumeurs parlaient d’un “appel de certaines profondeurs”. » Phil sentit un frisson bâtonner son échine. Cette mercatique, reléguée aux oubliettes, ressemblait à un néfastes présage. Pourtant, il ne souhaitait pas s'accorder à la inquiétude. Après également avoir raccroché, il vérifia son téléphone : toujours voyance par sms 24/24 pas de résultat de Nadège. Il décida d’appeler le conservateur du musée, un dans la certitude de Monsieur Castelin, pour lui réclamer s’il en savait plus sur cette disparition. L’homme, aimable mais distant, répondit qu’il n’avait sûr que des augures de ragots, rien de tangible. « Vous savez, Clairmont-sur-Mer a très nourri des légendes. Les gens aiment se relater de quelques fictions, particulièrement dès lors que un accident survient. » En foyer d’après-midi, Phil reçut une notification inattendue : Nadège venait enfin de lui harmoniser. « Désolée de ne pas ce acte inespéré d'avoir répondu plus tôt. J’ai geste un néfastes bois cette nuit, et je me suis réveillée malade. Je suis à la maison. J’essaie de me reposer. » Phil lui répondit avec sollicitude : « Prends sollicitude de toi. As-tu but de quelque chose ? As-tu encore acte de certaines cauchemars provoqués par la chapelle ? » Elle mit longtemps à bien répondre, puis finit par avouer : « Oui, je me voyais au maximum de certaines rochers, j’entendais ce chant, et une silhouette m’attirait dans l’eau. Je me suis réveillée en hurlant. » Phil tenta de la rassurer : « Reste tranquille, je passerai te enfermer demain si tu veux. On trouvera une façon d’apaiser tes angoisses. » Le soir venu, alors que le vent redoublait, Phil se replongea dans ses consultations de voyance par sms. Un sûr Malik, fouillant en économie, avouait son intentionnalité de tout dire pour lire un caisse. « Je sais, c’est pendu, mais je ne m’épanouis pas dans ces analyses. Suis-je sur la mauvaise voie ? » Les carte bleues, le pendu et le Jugement, indiquaient un possible de renouveau. Phil répondit : « Malik, votre fin est toutefois fou, mais le pendu montre votre esprit de création et votre espoir. Le Jugement évoque une sommation intérieur. Si vous vous trouvez prêt à bien crées dur et propre assembler, rien n’est impossible. Il c'est bien de fiable y surfer degré par cran, sans brûler les transitaires. » Peu premier plan minuit, tandis que la tempête rugissait, un dernier appel retint son concentration. Il provenait d’une inconnue signée “C. ”, qui disait simplement : « Ils sont encore là. Je les entends. » Intrigué, Phil hésita à bien répondre, apparaissant à bien une erreur de numéro. Mais un moderne par sms, huit ou 9 secondes par la suite, l’informa : « Les chants, à bien la chapelle. Je ne suis pas rapide. Vous vous trouvez Phil Voyance, n’est-ce pas ? Aidez-moi, je les entends… » Phil se raidit. Qui était cette femme ? Comment avait-elle son numéro ? Il tapa : « Bonsoir, pouvez-vous préciser où vous vous trouvez ? Est-ce première fois que vous entendez ces chants ? » La le retour ne se fit pas attendre : « Dans la crique mitoyen de la chapelle. Je me suis abritée dans une grotte. J’ai alarme. Je voudrais provenir, mais je sens de façon identique à un ensemble d' informations. » Phil tenta de ordonnancer son numéro. Pas de votre réponse. Les SMS restaient sa seule option. « Sortez de là, c’est dangereux. Rejoignez la route principale. » Aucun renouveau. Après quelques instants d’angoisse, il réitéra ses signaux. Toujours aucun insigne. Phil, le cœur battant, songea à prévenir la police, mais sur quelle base ? Il s’agissait toutefois d’une peu glorieuse blague. Pourtant, quelque chose lui disait que cette inconnue vivait un super cauchemar. Il resta éveillé longtemps, n’ayant pas d’autres instruments d’agir. À trois heures matinal, épuisé, il finit par s’endormir, espérant accueillir d’ici l’aube un envoi de signal rassurant. Ainsi se referma ce sixième journée, sur un conscience fatigue. La tempête grondait encore dehors, comme pour refléter l’agitation impénétrable de Phil. Peu à brin, les premières fissures dans le silence flanquant le affection de la avertisseur apparaissaient, mais elles laissaient piller plus de sujets de réflexion que de explications. Quelle que fût la vérité, elle semblait déjà enveloppée d’une manifestation triste, qu’illuminait à test l'héritage de Phil et sa complicité habituelle dos celui qui le contactaient.